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Littérature et référencement

une pile de livres



Comment la littérature peut-elle aider le référenceur dans le cadre de son métier ?

Rien ne paraît plus éloigné que le monde littéraire et le Web 2.0 !

Et pourtant... voici quelques exemples !



Comment devient-on référenceur ?

Comment en vient-on à se lancer dans ce métier, ou plutôt dans cette prodigieuse destinée ?


On dit souvent que les référenceurs viennent du développement. Il est vrai que la part des développeurs dans le métier est importante. Beaucoup ont également fait des études de webmarketing, ou de communication.

Enfin, les autres ont un parcours atypique : ils viennent de tout horizon, souvent par hasard (beaucoup ont simplement vu de la lumière et sont rentrés), parfois par passion (!). On croise parmi ceux-ci toute sorte de profils. Par exemple des aventuriers : trappeur, moniteur de ski, funambules en voie de reconversion ; ou encore des âmes égarées qui se cherchent elles-mêmes : femmes fatales, moines défroqués, écrivains en mal de succès.

Beaucoup ont fait des études littéraires (lettres modernes, psychologie, sociologie...). Quel lien entre la littérature et le référencement ? Aucun, direz-vous ? Grossière erreur ! En fait, de profonds liens unissent ces disciplines.

Voici quelques exemples qui montrent comment la littérature peut guider le référenceur dans le cadre de son travail


Treize à la douzaine est un chef d’œuvre de la littérature, écrit par Frank Gilbreth et son épouse, Ernestine Gilbreth. Ce livre raconte les difficultés que rencontre un père de famille nombreuse : il a en effet douze enfants, et en attend un treizième (d’où le titre du livre, ainsi que vous l’aurez compris).

Pour s’en sortir, il devient un adepte de la rationalisation du temps. Ainsi, il cherche à gagner du temps sur chaque petite tâche du quotidien. Il calcule quel est le trajet le plus court jusqu’à la boulangerie la plus proche. Il remarque qu’en boutonnant son gilet de haut en bas, il gagne deux précieuses secondes (sur le temps mis en le boutonnant de bas en haut). Il essaie de se raser les deux joues en même temps avec deux rasoirs, et se coupe. Il est furieux, non pas tant du fait de s’être coupé mais de n’être pas parvenu à économiser du temps.

Ce livre apprend au lecteur attentif  le principe de la rationalisation du temps.

Or parvenir à une gestion du temps efficace, c’est l’un des éléments essentiels qui distingue le bon du mauvais référenceur.


Quand on veut référencer un site sur un mot-clé en créant une dizaine de liens par semaine, ce n’est pas nécessaire. On peut prendre son temps, vu cette faible charge de travail…

Les problèmes commencent à se poser quand on a une dizaine de site à référencer, sur des dizaines de mots-clés, et qu’il y a beaucoup de travail à faire sur chacun de ces sites. Dans ce cas, ce qui différencie un bon référenceur d’un autre, c’est non pas que le premier aurait des « stratégies secrètes » que l’autre ne connaîtrait pas, c’est qu’il sait utiliser le temps d’une manière dont l’autre ne se doute même pas. On peut accomplir en un an ce que d’autres accomplissent en quatre.

Certains grâce à la rationalisation du temps poussée à l’extrême sont parvenus à la semaine non pas de 35 heures, mais de quatre heures (du nom d’un célèbre best-seller américain) ! Voilà qui fait rêver, n’est-ce pas ?  De mon côté, je cherche sans cesse des stratégies pour gagner du temps sur telle ou telle prestation sur les sites web dont je m'occupe (en voici quelques exemples). De cette manière cela m'a permis de dégager du temps que je consacre à mes sites, pour améliorer leur positionnement.


La rentabilisation du temps peut rendre fou : on se met à classer tout en deux catégories : ce qui nous fait perdre du temps, et ce qui nous en fait gagner. On se met à éviter beaucoup de choses… à tort, puisqu’il est parfois nécessaire de perdre du temps pour en gagner beaucoup par la suite !


Voici un exemple, simple, des trésors que l’on peut trouver dans les livres et qui peuvent venir nous éclairer lorsqu’on crée sa petite entreprise. Cela peut être des livres que l’on a lu à l’âge de dix ans (c’est le cas pour Treize à la douzaine) ou lors de son adolescence.

D’autres exemples ? Voici comment la littérature peut aider le référenceur à s’améliorer dans son travail ! Vous trouverez cette analyse à la page suivante

 

 

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